Performactions présent sur le salon créer reprendre & céder en Alsace, Mulhouse 17/11/2011

Vendeur, acquéreur ? Même énoncé de la problématique, perspective différente ! Vous êtes à la recherche d’une entreprise à acquérir, vous souhaitez céder votre entreprise ? Vous êtes faits pour vous entendre ! Dans tous les cas, il vous faudra respecter quelques règles de bon sens, parallèlement à la mise en oeuvre de méthodologies éprouvées. Venez en discuter avec Performactions, le 17 novembre, Parc des expositions de Mulhouse, de 9h00 à 18h00.

Notre credo:

·  Les problématiques du cédant et de l’acquéreur potentiel sont très proches, tout en étant l’une plutôt orientée vers le passé, l’autre vers l’avenir.

· Les méthodes de valorisation existantes vous fournissent une fourchette d’estimation globale, parfois assez technique (ratios…), mais qui ne doivent pas constituer l’essentiel de votre démarche. Le calcul d’une valorisation est une opération « technique » à mener à bien, mais qui n’a valeur que d’indicateur général.

· Le cédant comme l’acquéreur ne négocient pas un instantané, mais le fruit d’un long développement historique, qui a structuré l’entreprise (organisation, compétences humaines, outils de management, parc industriel, technologie, respect de l’environnement, structure des clients, etc.…) Autant de choses qui ne se créent pas en un jour, et qui peuvent constituer des facteurs de valorisation ou de dépréciation extrêmement importants (bien plus qu’une divergence quant à la valorisation des stocks par exemple), des opportunités, comme des risques stratégiques rédhibitoires aux yeux d’un repreneur.

· La plupart de ces éléments de valeur constituent des actifs incorporels extracomptables qui apportent de la valeur à l’entreprise ou qui au contraire la pénalisent lourdement aux yeux d’un repreneur pertinent. L’écart de valorisation peut facilement atteindre 30 à 40% !

·   Vous, cédant, avez donc tout intérêt à préparer au moins 4 ou 5 ans à l’avance la transmission de l’entreprise en maximisant ces éléments de valeur incorporels. Et vous acquéreur, devez porter avant l’acquisition un regard acéré sur l’état de ces éléments de valeurs, en identifier les faiblesses qui feront baisser le prix, apprécier à leur juste valeur les éléments de qualité, et valider les opportunités qui vont vous apporter de la croissance de valeur une fois l’entreprise acquise.

En conclusion : les étapes clés de la démarche que nous recommandons :

Pour le cédant : se livrer à un audit stratégique, mettre en perspective les potentiels de développement selon les profils des acheteurs potentiels. Une opération qui exige du temps, de la méthode, une gestion rigoureuse des priorités.

Pour l’acquéreur :

  • Avant l’acquisition : se livrer à une analyse fouillée des risques et opportunités de la cible, des synergies éventuelles avec ses propres entreprises, et construire un business plan multidisciplinaire ou le compte d’exploitation n’est qu’une résultante des options stratégiques.
  • Après l’acquisition : conserver la ligne stratégique, déployer les plans d’actions opérationnels, dans le respect impératif des délais.

Dans tous les cas de figure, nous recommandons vivement de vous faire accompagner dans la durée pour réaliser une opération de cession ou d’acquisition. L’investissement consenti se retrouve dans 95% des cas dans l’appréciation de la valeur de l’entreprise à céder et dans la révélation du potentiel exact des risques et opportunités de la cible.




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